En une dizaine de portraits, le geste photographique de Douraïd Souissi en dit beaucoup plus sur l 'éthique du point de vue que sur le petit quart d 'heure de gloire promis par les feux de la rampe. Ce ne sont d 'ailleurs pas des images, mais des contre-images dont les sujets se refusent à notre regard. De ces sujets, en grande partie masculins que l 'on voit se replier sur leur intimité, nous ne saurons d 'ailleurs que les prénoms qui donnent son titre à cette troisième exposition personnelle du photographe. Celle-ci se poursuit actuellement à la galerie A. Gorgi, jusqu 'au 10 mai 2017.
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